1- Prévoyez un bagage à main (dans l’avion) pour vos enfants.
L’idée d’avoir une variété de collations est importante car plusieurs compagnies aériennes ne servent plus de repas ou sinon ils sont payants et assez dispendieux ou tout simplement pas santé (chips, chocolat). Par exemple, des craquelins, du fromage, des petits yogourts, des noix, des barres tendres ou des muffins, etc, sont des aliments qui se traînent bien. Un enfant qui a faim peut rendre le trajet plus pénible et long! Lorsque vous quittez les douanes de Montréal, vous pouvez passer presque n’importe quoi à l’exception des agrumes, mais le tout ne s’applique pas au retour.
2- Un sac de divertissement est aussi un indispensable.
Une petite visite au Dollorama afin de les occuper pendant le trajet aérien, est une belle façon de leur laisser la possibilité de choisir eux-mêmes leurs jouets, ce qui les rendra fiers. De nouveaux jouets qui ne pourront être déballés que dans l’avion, pas chers s’ils se perdent et la nouveauté est toujours excitante pour eux. Quelques crayons et feuilles, livres d’exercice ou de devinettes, voitures, etc.
Dans le même sens, les consoles de jeu, ou toutes les applications de votre téléphone, Ipad ou autres sont aussi une très bonne source de divertissement pour toute la famille. N’oubliez pas de charger vos batteries avant le départ ou d’avoir votre adapteur proche. Des écouteurs sont fournis dans la plupart des compagnies aériennes mais elles sont payantes, donc préférable d’amener les siennes, autour si vous voulez visionner le film.
3- Bouger
Si votre enfant ressent le besoin de bouger, il est nécessaire de l’encourager à circuler dans l’allée de l’avion, même si elle est étroite, ce qui permettra de vous dégourdir les jambes ou d’en profiter pour aller aux toilettes. Je vous recommande de le faire environ aux deux heures selon le temps de vol et même aux heure si c’est un très long vol. Vous savez que si vous êtes enceinte, vous serez obligé de le faire de toute façon pour votre circulation sanguine. En passant, il est vrai que les toilettes sont plus ou moins emménagées pour y coucher votre enfant, assez étroite!
4-N’ayez pas peur du jugement des autres
On a parlé précédemment du contrôle, mais vous n’avez effectivement pas le contrôle total sur votre enfant, sur ses pleurs ou s’il bouge. Vous pouvez le rassurer, le faire marcher dans l’allée dans le but de le dégourdir, mais surtout si c’est un nouveau-né, il est difficile de faire plus.
Avez-vous déjà vécu la situation où votre enfant ne tient plus en place et donne des coups dans le dos du siège avant?
Vous risquez d’entendre un soupir, un regard accusateur. Certains passagers sont compréhensifs alors que d’autres peuvent être impatients et ont comme attente de faire un voyage paisible et sans bruit. Il est possible de vous excusez mais que vous ne pouvez pas faire plus. Tant que vous faites ce que vous pouvez pour faire cesser le comportement. Votre enfant est peut être «dérangeant» aux yeux de certains, mais cela ne veut pas dire que c’est réellement dérangeant, la tolérance et la perception de tous est bien différente, surtout quand on est parent!
Un enfant restera un enfant non? ET de le confiner plusieurs heures sur un siège n’est pas l’idéal pour lui, encore moins si votre enfant est sur vos genoux pour tous le trajet
5- Réserver un siège près des toilettes ou du hublot
Il peut être très pertinent de réserver vos sièges afin de vous assurer d’être assis ensemble (sinon arriver suffisamment d’avance à l’aéroport), malgré que ça engendre des coûts supplémentaires. Être assis près du hublot permet à votre enfant de regarder tout ce qui se passe par la fenêtre, de susciter une série de questions et donc de favoriser la discussion.
Avez-vous des expériences à nous partager?
Avec compréhension de votre réalité, Marilène
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