Je vais débuter cet article en parlant brièvement de mon combat avec l’alimentation. Je n’ai reçu aucun diagnostic médical à se sujet, ayant toujours refusé de faire face à se côté de moi.
Ceux qui me connaissent savent que depuis le début de ma puberté me nourrir est un combat. Un combat un peu « secret » car je parle rarement de ma manie malsaine. J’arrive toutefois mieux depuis la naissance de mon petit paquet de bonheur à contrôler ce comportement. Bref, j’imagine que j’ai choisi mon métier pour affronter mon ennemi au quotidien. (rire)
Se nourrir est un besoin vital. La venu de mon enfant me fit prendre conscience pour la première fois de la relation émotive envers la nourriture. L’allaitement a donc modifié ma vision. J’ai découvert tout d’abords qu’un bébé allaité à la demande contrôle lui-même son besoin nutrionnel et affectif. Je ne pouvais donc pas forcer la nature et encore moins lui imposer une horaire, une routine. J’ai dût apprendre à faire confiance à mon instinct et à mon bébé, cela nous guiderait vers la plus belle aventure d’une vie. D’ailleurs il m’arrive encore d’allaiter 42 mois plus tard! L’humain aussi petit soit-il est muni d’un savoir sur les signaux de faim et de satiété. Il suffit d’être à l’écoute de son corps. La plus belle forme de respect à mes yeux.
Manger quand ont a faim! Voilà se que l’allaitement m’a enseigné. Il est d’ailleurs impossible de forcer un bébé/bambin à téter. Une belle leçon!
Suite à mon parcours, vers 6 ou 8 mois nous avons introduit l’alimentation autonome à notre enfant. Il me semblait une suite logique suite à mes réflexions que notre rayon de soleil mangerait selon son intuition. Ma mini a donc pu découvrir à sa convenance, les textures et les saveurs avec ses mains et sa bouche. Encore une fois, impossible de forcer les choses, l’enfant dirige son alimentation selon son appétit. La beauté avec cette seconde découverte, tout comme pour l’allaitement, des petits repas plus fréquents semblent la base. Notre rythme est donc loin du modèle classique, soit plus ou moins, «6 Fois par jour »! Évidemment que je dois mettre en évidence par cette étape, que mon souhait était encore de respecter son autonomie et ses signaux de satiété. Je ne suis pas mon enfant, je dois donc lâcher prise et lui faire confiance.
Autre élément important je ne peux vous cacher que nous n’avons que très peu de produit transformé à la maison. Que les légumes, fruits, noix et graines, céréales, légumineuses, et poissons ont une grande place dans notre régime. Je m’efforce de choisir les produits sans sucre ajouté et biologique dans la mesure du possible. Je porte une attention particulière aussi au pays d’origine des produits sans oublié les huiles utilisées pour ne faire qu’une mince liste de « ma manie ». Les produits qui se retrouvent donc dans notre frigo ou dans notre garde-manger peuvent en tout temps être consommés et choisi par tous. C’est une merveilleuse liberté que j’aime offrir à ma famille.
Nous avons certainement des journées « d’occasions » ou des gâteau de fête, du pop corn ou des chocolats peuvent être consommé. Ils sont cependant réservé à ses événements.
Petit clin d’œil … les aliments sucrés ouvrent l’appétit, alors n’hésitez pas à débuter vos repas avec eux!
Nous avions à cœur de poursuivre une relation saine avec les aliments. Nous avons donc retiré les phrases du type « Finis ton assiette! » et nous les avons remplacé par « As-tu encore faim? » La base de l’alimentation intuitive étant de faire confiance à l’appétit de nos mini.
Mon devoir est de leur fournir des aliments sains, variés et équilibrés. Je n’ai donc aucune limite, restriction à leur faire. Je souhaites que ma progéniture soit délivré de mon mal. Et je vous souhaites une démarche aussi bénéfique pour la santé du corps et de l’esprit.
La prochaine fois qu’une rage de nourriture vous envahie, demandez-vous si un besoin émotif se cache derrière où si votre signal de faim est vraiment activé!
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