Perdre un amour à quatre pattes tout un défi.
La maladie t’a frappé de plein fouet et tu avais à peine 6 ans. Je ne m’étais jamais imaginé te perdre si tôt. Toi ma meilleure amie, ma confidente si précieuse.
Je manque de mots pour vous expliquer sa place dans mon cœur et ma vie mais ceux qui tout comme moi chérisse un animal comprendront. Elle est entrée dans un moment très précis dans la mienne, là où tout s’écroulait. Sans vouloir dire qu’elle a été une bouée de sauvetage, je pourrais dire qu’elle fut une lumière, une étoile dans un passage difficile. Depuis, elle m’avait accompagné dans chaque changement que celle-ci m’apportait.
Après deux longs mois de maladie, nous avons dût prendre la douloureuse décision de te libérer de tes souffrances. Je pleure encore cette étape même si je sais que le temps m’aidera a être dans l’acceptation totale. J’ai toujours milles et un moments où nos routines me rappel ton absence et encore plus durement car nous sommes aujourd’hui parent. Ta perte dans le cœur des enfants est aussi très présente. Et que dire de nos explications de pouvoir te dire encore des secrets en regardant les étoiles… Notre petit paquet de bonheur est encore jeune, elle se pause beaucoup de question sur ton bien-être, qui coupe tes griffes maintenant, qui te donne tes croquettes et j’en passe… Du haut de ses 4 ans elle me confirme régulièrement que ton absence est douloureuse, tu avais une place de choix dans son cœur, puisqu’elle est tout comme moi passionné des animaux.
Tu me manque mon chien, tes lichettes, ton odeur, tes yeux, tes courses folles contre le chat, tes aboiements contre le vent, ton cœur tendre, ta sensibilité…
Tu laisse aussi dans le deuil ta petite sœur qui t’a longuement cherché qui apprend tranquillement a se faire de nouveau repaire, ayant perdu son mentor.
T’accompagner à ton dernier souffle, te libérer de tes souffrance, restera a tout jamais gravé dans ma mémoire. Merci également au support de notre clinique vétérinaire qui fût d’une aide généreuse dans tous les appels d’incertitudes, de questionnement et se jusqu’à la fin et plus encore.
De là où tu es vieille sur nous.
Un jour, comme dit mon rayon de soleil : « nous irons dormir près de toi. »
À bientôt mon chien!
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